U Ballò di nanzu

[Filippu]

Bannissez moi mon Père car j'ai beaucoup pêcher.


Heu, non je déconne, ne faites pas ça svp, même si ça ferait plaisir à certains.

[poghjulanu]

c'est jig le modo, j'aime bien le scuzzuler un peu, c'est plus une private joke, et pardon pour le manque d'élégance, la prochaine fois je mettrai un monocle

N'oublies pas que j'ai le pouvoir de bannir

tu n'oserais pas

[jigsaw2a]

c'est jig le modo, j'aime bien le scuzzuler un peu, c'est plus une private joke, et pardon pour le manque d'élégance, la prochaine fois je mettrai un monocle

N'oublies pas que j'ai le pouvoir de bannir

tu n'oserais pas

Non

[Sorba]

Si !!

[jigsaw2a]

S'il y a de la matiere oui mais dans ce cas non

[Rimbeccu]

c'est jig le modo, j'aime bien le scuzzuler un peu, c'est plus une private joke, et pardon pour le manque d'élégance, la prochaine fois je mettrai un monocle

C'est pas grave, l'odeur ne transpire pas du forum. C''était juste pour info !

[Rimbeccu]

Je vous ai parlé l'autre jour, de la philosophie offensive du Brésil de Pelé, mais aussi de la lenteur qui caractérisait le jeu de cette époque. Sur ces images (finale CDM 70), vous verrez qu'avant l'accélération finale de Jairzinho et le génie de la passe de Pelé pour le "coup de canon" de Carlos Alberto, il y a une séquence quasi au ralenti, qui ressemble davantage à un échauffement d'avant match qu'à une finale de coupe du monde, lorsque Clodoaldo dribble quatre italiens qui ne bougent guère.
C'est aussi pourquoi, il faut regarder ces images dans le contexte de l'époque. De nos jours, une tactique offensive de ce type est difficile en raison de la puissance physique développée et de la vitesse du jeu, qui ne permet pas de "tricotage", d'où la prédominance de ce que l'on nomme "jeu direct", même si Guardiola a réussi cette "résurrection" avec le Barca, mais il avait les joueurs "ad hoc".

[Acellu Turchinu]

ò : Alt Gr + 7(`), puis o

Bastaia à dumandà !

Mais ça ne viaghje pas sur mon clavier...

Ou je suis un baulu...

[Acellu Turchinu]

C'est aussi pourquoi, il faut regarder ces images dans le contexte de l'époque. De nos jours, une tactique offensive de ce type est difficile en raison de la puissance physique développée et de la vitesse du jeu, qui ne permet pas de "tricotage", d'où la prédominance de ce que l'on nomme "jeu direct", même si Guardiola a réussi cette "résurrection" avec le Barca, mais il avait les joueurs "ad hoc".

Absolument, Guardiola a réussi à développer le style de jeu prôné par Cruyff avec les joueurs voulus - Xavi, Iniesta, Etoo... et Messi.
Ceux qui ont voulu continuer dans cette voie avec le seul Messi, dont on ne peut pourtant douter du talent, ont peu à peu vu le club décliner jusqu'à le voir piteusement éliminé, très tôt, de la LDC cette saison...
Koeman a relancé le Barça en changeant son style de jeu, plus direct, et sa disposition : 5 défenseurs, ce qui libère avec moins d'inquiétude les latéraux, toujours "couverts" par un défenseur central sans dégarnir le centre.

Tout ça pour dire que le coach doit adapter sa tactique à ses joueurs et pas vouloir les faire rentrer de force dans un schéma, même excellent, qu'il a en tête...

Il reste la possibilité, de riches, de choisir les joueurs en fonction de ce schéma... en plus de leurs qualités !

J'aimais bien cette disposition chez nous, a priori sure, mais Assignon y a perdu son jeu défensif en jouant beaucoup plus haut (sans doute une consigne, tout à fait cohérente, en l'absence d'ailier) et Guidi n'est pas à l'aise sur le côté droit : elle était donc malheureusement inadaptée à nos joueurs...
Retour logique à 4 défenseurs !

Quant à l'évolution du football, la vitesse et la puissance ne sont plus du tout les mêmes et ont tout changé...
La vitesse de geste se travaille. Elle nécessite une très bonne technique...
Les accélérations aussi : sur de courtes distances, il est possible de réduire le delta entre une "flèche" et un autre...
Et puissance ne signifie pas forcément 1m90 et 90 kilos de muscles mais des joueurs bien campés sur leurs jambes... Messi n'a rien d'un athlète mais est vif et n'est pas facile à "bouger" ! Là aussi, la masse musculaire se développe : créatine - pas sûr que les reins apprécient mais...

Mais les grands d'hier seraient probablement restés parmi les grands d'aujourd'hui !!

[Rimbeccu]

Ton analyse se tient, mais en ce qui concerne MC j'attends ce soir pour voir où ils en sont et je fait miennes ces observations du Miroir :
Inévitablement, City nous fait penser au Barça post-Guardiola ou à l’équipe d’Espagne de la dernière Coupe du Monde quand la possession de balle n’est plus un moyen pour désagréger l’adversaire mais une fin en soi marquée du sceau de l’impuissance. C’est la marque d’un certain déclin. Le jeu préconisé par Guardiola est tellement sophistiqué qu’il demande une exigence de tous les instants. Un peu de relâchement, un peu de déconcentration et la dernière passe n’est plus aussi millimétrée, le dernier geste est imparfait. Il faut être « habité » pour développer un jeu de virtuosité. Si vous l’êtes un peu moins, les coffres-forts résistent. On se gardera bien, après trois mois d’insuccès, de parler de Manchester City au passé (le Real, Barça, la Juve font aussi un départ poussif), on se gardera tout autant d’en parler au futur. Peut-être que la plus brillante équipe d’Europe_qui n’est pas la meilleure en ce moment_ ne passe –t’elle qu’un mauvais quart d’heure. Peut-être encore que la Ligue des Champions, objectif d’un club qui ne l’a jamais gagnée, remettra tout le monde en selle. Ça fait beaucoup de « peut-être » mais une certitude : si un jour la lumière se rallume, c’est Guardiola qui aura appuyé sur le bouton.

[Acellu Turchinu]

Je pense que le jeu du Barça sous Guardiola est difficilement transmissible à d'autres équipes qui n'ont pas des joueurs de très haut niveau technique et beaucoup d'abnégation car Xavi et Iniesta en plus d'être créateurs étaient des travailleurs insatiables et infatigables - ils n'ont d'ailleurs pas fait une carrière très longue - et il y avait Messi...

Je ne sais pas ce que valent ceux de City !

[Rimbeccu]

Moi non plus ,car je ne regarde pas le foot anglais. Pour le reste, on verra ce soir. PS/ Quand je dis on verra, ce sera plus tard, car je ne regarde pas les matchs du PSG. Une équipe sans âme, uniquement soutenue par le pognon d'un Etat proche des islamistes et, aussi, à cause de la personnalité de ces joueurs, qui ont souvent une attitude hautaine et provocatrice. Donc, ce sera sans moi. Si victoire MC ou nul je verrais le replay sur RMCsport.

[Acellu Turchinu]

Ci capimu bè !!

[poghjulanu]

Ton analyse se tient, mais en ce qui concerne MC j'attends ce soir pour voir où ils en sont et je fait miennes ces observations du Miroir :
Inévitablement, City nous fait penser au Barça post-Guardiola ou à l’équipe d’Espagne de la dernière Coupe du Monde quand la possession de balle n’est plus un moyen pour désagréger l’adversaire mais une fin en soi marquée du sceau de l’impuissance. C’est la marque d’un certain déclin. Le jeu préconisé par Guardiola est tellement sophistiqué qu’il demande une exigence de tous les instants. Un peu de relâchement, un peu de déconcentration et la dernière passe n’est plus aussi millimétrée, le dernier geste est imparfait. Il faut être « habité » pour développer un jeu de virtuosité. Si vous l’êtes un peu moins, les coffres-forts résistent. On se gardera bien, après trois mois d’insuccès, de parler de Manchester City au passé (le Real, Barça, la Juve font aussi un départ poussif), on se gardera tout autant d’en parler au futur. Peut-être que la plus brillante équipe d’Europe_qui n’est pas la meilleure en ce moment_ ne passe –t’elle qu’un mauvais quart d’heure. Peut-être encore que la Ligue des Champions, objectif d’un club qui ne l’a jamais gagnée, remettra tout le monde en selle. Ça fait beaucoup de « peut-être » mais une certitude : si un jour la lumière se rallume, c’est Guardiola qui aura appuyé sur le bouton.

merci pour tes interventions toujours pointues et dans lesquelles je me retrouve

[Random2a]

Je pense que le jeu du Barça sous Guardiola est difficilement transmissible à d'autres équipes qui n'ont pas des joueurs de très haut niveau technique et beaucoup d'abnégation car Xavi et Iniesta en plus d'être créateurs étaient des travailleurs insatiables et infatigables - ils n'ont d'ailleurs pas fait une carrière très longue - et il y avait Messi...

Je ne sais pas ce que valent ceux de City !

Enfin pas longue Iniesta 16 ans au Barca soit 675 matchs et tu en rajoute 75 a Kobe sans compter 130 sélections et Xavi 17 ans soit 767 matchs et 108 avec un club des EAU et aussi 133 sélections si ca c'est pas des carrières longues je sait pas ce qu'il faut ......