Re: Info L1/L2/National !
Posté : 08 Lug 2025 16:11
C'est ça.
https://www.foot-national.com/actus/aja ... ncg-918611Filippu a écrit : 08 Lug 2025 17:57 Certains disent que l'Assez A aurait répondu aux attentes de la DNCG.
On en saura plus dans quelques jours.
Ca va saigner qu'ils disaient!Japu a écrit : 09 Lug 2025 17:19 En appel, la DNCG accepte de maintenir Lyon en L1. La commission d'appel a infirmé la décision prise en première instance et décidé d'un encadrement de la masse salariale et des indemnités de mutation sur le budget de L1 proposé.
Oui, c'est ce que disait le président de la commission. C'était peut-être destiné à faire peur aux clubs pros ? A part Martigues, on n'a pas vu grand chose. On verra quelle sera la décision pour l'aca.yvanecci a écrit : 09 Lug 2025 17:21Ca va saigner qu'ils disaient!Japu a écrit : 09 Lug 2025 17:19 En appel, la DNCG accepte de maintenir Lyon en L1. La commission d'appel a infirmé la décision prise en première instance et décidé d'un encadrement de la masse salariale et des indemnités de mutation sur le budget de L1 proposé.![]()
Arrivé à Dunkerque le 20 juin pour succéder à Luis Castro, Gonçalo Feio n'a tenu que trois semaines à la tête de l'USLD. Un départ express dans un climat pesant, que le club assume comme un échec formateur.
Valises bouclées, départ à l'aube. Gonçalo Feio a quitté Dunkerque comme il y était arrivé : discrètement, mais en laissant une trace. Une ambiance pesante, un vestiaire crispé, des tensions à peine voilées... Un épisode rocambolesque qui en dit long sur les ambitions – et les risques – du projet dunkerquois.
Trois semaines sous tension
En effet, le technicien portugais de 35 ans, arrivé du Legia Varsovie avec une belle cote, a quitté le Nord sans prévenir ses joueurs ni son staff, après seulement trois semaines en poste. Une fin précipitée, dans un contexte tendu, que le club nordiste, proche de la montée en 2024-2025, assume pleinement. «Nous savions qu'il y avait un risque, mais nous pensions qu'il pouvait faire grandir l'équipe» , explique le coprésident Demba Ba dans des propos relayés par L'Équipe.
Dunkerque avait pourtant pris soin de faire venir Feio sur place avant de signer, afin qu'il appréhende le contexte local. Le discours était clair : unité, humilité, pacte moral. Mais très vite, son style direct a semé le trouble. Si l'intensité des séances plaisait, le ton employé et les critiques répétées ont rapidement instauré un climat anxiogène. Entre coups de sang, propos déplacés et tensions internes, le groupe a vite été mis sous pression.
Une cassure brutale
Le contraste avec son prédécesseur Luis Castro, adepte d'un management bienveillant, a été brutal. Certains joueurs auraient rapidement perdu confiance, s'entraînant «avec la peur au ventre» . Feio, souvent présent dès 5h du matin, n'a pas hésité à houspiller un membre du staff pour un simple appel téléphonique ou à rappeler son passé glorieux : «J'ai battu Chelsea il y a trois mois» , a même lancé le Lusitanien, cassant l'élan collectif attendu.
Le match amical perdu contre Boulogne-sur-Mer (1-5), samedi, a marqué un tournant, avec une sortie houleuse visant directement un dirigeant. Dès le lundi, Benjamin Rytlewski a repris l'intérim, avec un groupe «libéré» selon plusieurs témoins. Dunkerque repart donc en quête d'un coach. «Je ne baisserai pas mon niveau d'exigence» , a prévenu Ba, bien décidé à maintenir un cap ambitieux, malgré cet épisode aussi express que déroutant.
Pour le poste d'entraineur, ça parle de Gaël Clichy qui a quitté (avant le départ des coachs de Dunkerque) le poste de coach adjoint de l'EdF des Féminines.Borroka a écrit : 15 Lug 2025 12:37Arrivé à Dunkerque le 20 juin pour succéder à Luis Castro, Gonçalo Feio n'a tenu que trois semaines à la tête de l'USLD. Un départ express dans un climat pesant, que le club assume comme un échec formateur.
Valises bouclées, départ à l'aube. Gonçalo Feio a quitté Dunkerque comme il y était arrivé : discrètement, mais en laissant une trace. Une ambiance pesante, un vestiaire crispé, des tensions à peine voilées... Un épisode rocambolesque qui en dit long sur les ambitions – et les risques – du projet dunkerquois.
Trois semaines sous tension
En effet, le technicien portugais de 35 ans, arrivé du Legia Varsovie avec une belle cote, a quitté le Nord sans prévenir ses joueurs ni son staff, après seulement trois semaines en poste. Une fin précipitée, dans un contexte tendu, que le club nordiste, proche de la montée en 2024-2025, assume pleinement. «Nous savions qu'il y avait un risque, mais nous pensions qu'il pouvait faire grandir l'équipe» , explique le coprésident Demba Ba dans des propos relayés par L'Équipe.
Dunkerque avait pourtant pris soin de faire venir Feio sur place avant de signer, afin qu'il appréhende le contexte local. Le discours était clair : unité, humilité, pacte moral. Mais très vite, son style direct a semé le trouble. Si l'intensité des séances plaisait, le ton employé et les critiques répétées ont rapidement instauré un climat anxiogène. Entre coups de sang, propos déplacés et tensions internes, le groupe a vite été mis sous pression.
Une cassure brutale
Le contraste avec son prédécesseur Luis Castro, adepte d'un management bienveillant, a été brutal. Certains joueurs auraient rapidement perdu confiance, s'entraînant «avec la peur au ventre» . Feio, souvent présent dès 5h du matin, n'a pas hésité à houspiller un membre du staff pour un simple appel téléphonique ou à rappeler son passé glorieux : «J'ai battu Chelsea il y a trois mois» , a même lancé le Lusitanien, cassant l'élan collectif attendu.
Le match amical perdu contre Boulogne-sur-Mer (1-5), samedi, a marqué un tournant, avec une sortie houleuse visant directement un dirigeant. Dès le lundi, Benjamin Rytlewski a repris l'intérim, avec un groupe «libéré» selon plusieurs témoins. Dunkerque repart donc en quête d'un coach. «Je ne baisserai pas mon niveau d'exigence» , a prévenu Ba, bien décidé à maintenir un cap ambitieux, malgré cet épisode aussi express que déroutant.