On ne peut faire de sentiments qu'à la dernière journée quand l'adversaire a besoin de points, que nous sommes bien avec lui et que nous n'avons plus rien à perdre ou à gagner...
Là, en plein "milieu" du championnat, cadeaux impossibles : "chacun pour soi et Dieu pour tous" !!
Ou alors "on gagne chez nous et vous gagnez chez vous" mais marché obscur risqué à bien des égards car personne ne sait ce qui se passera dans quelques mois au classement et si c'est éventé, c'est une terrible sanction pour les deux : non, merci !!
Tout ce qu'on peut se souhaiter mutuellement, c'est pas de blessés ni d'expulsés...