Yam2b a écrit :Qui a lu l'interview de l'entraineur d'Aubagne après le match de samedi FBIR- AUBAGNE sur le site Actufoot 2B ?
Allez y c'est ahurissant et ça promet pour la suite du championnat.
Bah, du Grand Classique maintenant : "le Contexte Corse" !
Comme par hasard toujours ressorti quand le résultat n'est pas celui attendu par les visiteurs pour qui, en gros, un résultat est "normal" s'il se solde par une victoire de leur équipe en Corse...
Je ne sais pas comment était l'arbitrage à l'Isula mais lorsque nous sommes concernés, à 90% du temps, c'est nous qui le subissons durement... par "nos" prétendus arbitres !!
On va avoir demain un joli tableau de ce Contexte dressé par le plus haut représentant de l'Etat - il y aura des clichés de toutes sortes, aux sens propre comme figuré...
Et, pour finir, sans doute un grand bras d'honneur à la Démocratie !!
Forza Bastia è basta...!! Je ne donne que de SIMPLES avis...
Yam2b a écrit :Qui a lu l'interview de l'entraineur d'Aubagne après le match de samedi FBIR- AUBAGNE sur le site Actufoot 2B ?
Allez y c'est ahurissant et ça promet pour la suite du championnat.
Bah, du Grand Classique maintenant : "le Contexte Corse" !
Comme par hasard toujours ressorti quand le résultat n'est pas celui attendu par les visiteurs pour qui, en gros, un résultat est "normal" s'il se solde par une victoire de leur équipe en Corse...
Je ne sais pas comment était l'arbitrage à l'Isula mais lorsque nous sommes concernés, à 90% du temps, c'est nous qui le subissons durement... par "nos" prétendus arbitres !!
On va avoir demain un joli tableau de ce Contexte dressé par le plus haut représentant de l'Etat - il y aura des clichés de toutes sortes, aux sens propre comme figuré...
Et, pour finir, sans doute un grand bras d'honneur à la Démocratie !!
Menés 2-0 ils ont tellement été traumatisés que même en pleurant dans les vestiaires ils sont revenus à 2-2...
Chacun de nous est porteur de points de vue, pas d'une vérité absolue
Yam2b a écrit :Qui a lu l'interview de l'entraineur d'Aubagne après le match de samedi FBIR- AUBAGNE sur le site Actufoot 2B ?
Allez y c'est ahurissant et ça promet pour la suite du championnat.
Bah, du Grand Classique maintenant : "le Contexte Corse" !
Comme par hasard toujours ressorti quand le résultat n'est pas celui attendu par les visiteurs pour qui, en gros, un résultat est "normal" s'il se solde par une victoire de leur équipe en Corse...
Je ne sais pas comment était l'arbitrage à l'Isula mais lorsque nous sommes concernés, à 90% du temps, c'est nous qui le subissons durement... par "nos" prétendus arbitres !!
On va avoir demain un joli tableau de ce Contexte dressé par le plus haut représentant de l'Etat - il y aura des clichés de toutes sortes, aux sens propre comme figuré...
Et, pour finir, sans doute un grand bras d'honneur à la Démocratie !!
Menés 2-0 ils ont tellement été traumatisés que même en pleurant dans les vestiaires ils sont revenus à 2-2...
Et en plus en marquant le but du nul dans le temps additionnel ...
jigsaw2a a écrit :Menés 2-0 ils ont tellement été traumatisés que même en pleurant dans les vestiaires ils sont revenus à 2-2...
Et en plus en marquant le but du nul dans le temps additionnel ...
Oui, ils craignaient visiblement la sortie des vestiaires...!!
Falzacci !
Toujours prêts à se défouler sur les Corses de leurs frustrations quotidiennes, poussés et soutenus en cela par l'Etat, dans un pays dangereux (ce n'est pas moi qui le dis mais des études internationales... qui déconseillent d'aller à Paris !) où ils ne sont plus chez eux - il suffit d'allumer une télé pour le voir...
Forza Bastia è basta...!! Je ne donne que de SIMPLES avis...
Attends d'abord les déclarations du Président de la République... qui risquent d'échauffer les esprits plus qu'un match de foot...
Cela étant, l'ambiance autour de ce match risque d'être encore plus électrique mais gageons qu'il y aura toutes les Forces de l'Ordre nécessaires (qu'ils feraient mieux d'envoyer dans leurs banlieues... !!) pour calmer tout le monde !
Forza Bastia è basta...!! Je ne donne que de SIMPLES avis...
Je ne pense pas que le President de la republique va demander a ce qu'on nous ajoute 5 points au classement pour être leader du championnat....
C'est de l'humour je précise....
Yam2b a écrit :Je ne pense pas que le President de la republique va demander a ce qu'on nous ajoute 5 points au classement pour être leader du championnat....
C'est de l'humour je précise....
Ce serait génial !
Je ne faisais pas allusion au sport mais à ce qu'il va déclarer sur la Corse et ses conséquences...
Forza Bastia è basta...!! Je ne donne que de SIMPLES avis...
Ces salopards là préparent le terrain
C'est ainsi qu'on lance des rumeurs et autres calomnies
Et si ça ne sert pas cette saison, ça servira pour la suivante
Qu'ils aillent se faire défoncer le fion
Chi fa ? Ma chi si po fa ? Ci vole à . . .
Un Vi Scurdate Micca : Simu Nati Per Soffre.
Kill 'Em All !!! ERI, OGHJE, DUMANE è PER SEMPRE : PIU CHE MAI FORZA BASTIA !!!
Oui, cela se répète trop souvent sans raison (je parle du cas du Sporting que je connais...) pour ne pas être orchestré : le "contexte", ils l'ont bien créé de toutes pièces et ensuite utilisé à l'envi dès qu'un résultat à Furiani ne leur convenait pas !
Forza Bastia è basta...!! Je ne donne que de SIMPLES avis...
Yam2b a écrit :Je ne pense pas que le President de la republique va demander a ce qu'on nous ajoute 5 points au classement pour être leader du championnat....
C'est de l'humour je précise....
Dommage, il serait remonté dans mon estime. (quoi que...)
"Vous êtes grands, nos supporters géants et le Sporting immortel" Jo Bonavita 22/04/2011
issu du journal
Foot Bastia (série 1/2)
Bastia, le gouffre corse
Le 08/02/2018, mis à jour le 08/02/2018 à 18:43
De notre envoyé spécial Guillaume Dufy
Bastia, révélations sur un naufrage (1/2) - Gabegie financière, relégation sportive, colère des supporters... Le Sporting s'est effondré au printemps dernier, avec un passif de plus de 30 M€. Son ancien président, Pierre-Marie Geronimi, incarne cette faillite.
Série «Bastia, révélations sur un naufrage»
L'Equipe consacre un dossier pendant deux jours sur la chute du Sporting Club de Bastia en National 3.
BASTIA – Pierre-Marie Geronimi ne répond plus. L'ancien président du Sporting Club de Bastia a changé ses numéros de mobiles. Et quand on laisse un message sur le téléphone de la mairie de Casamaccioli, village d'une centaine d'habitants dont il est le premier magistrat (PRG), il ne rappelle pas. Il faut comprendre, ou plutôt analyser son silence. Geronimi est l'homme qui a précipité la chute du club bastiais, le grand responsable de la faillite, de ce désastre économique. Le symbole d'une gestion irrationnelle. Il n'était évidemment pas seul à mener le Sporting, mais il détenait la signature.
Ils étaient neuf lorsqu'ils ont pris le contrôle du club, en mai 2010. À l'époque, ils avaient investi 28 000 euros chacun. Le club était en National. Deux ans plus tard, Bastia retrouvait la Ligue 1, où il est resté cinq saisons. Mais les méthodes employées par les têtes pensantes ont fini par causer la disparition de la SASP (société anonyme sportive professionnelle). Joueur invétéré, capable de parier des fortunes sur des courses de chevaux avec l'argent de sa société de location de voitures, Pierre-Marie Geronimi a toujours cru qu'il pourrait se refaire, et sauver le club. «Il a été dans le déni de manière permanente», s'emporte Benoît Tavenot, un ancien entraîneur adjoint. «Il avait tous les symptômes de la pathologie d'un chef d'entreprise aux abois qui a perdu toute lucidité», poursuit un proche du Sporting.
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Cissé-Brandao, les chers et étranges CDI du SC Bastia
Chef d'entreprise, Jean-Marc Cermolacce préside depuis six ans le tribunal de commerce de Bastia. C'est lui qui a prononcé la liquidation judiciaire de l'entité professionnelle du Sporting. C'était le 5 septembre. Le 4 décembre, autour d'un café, il a accepté de parler de ce séisme économique. «Je n'avais jamais vu ça en Corse, je n'avais jamais vu de tels chiffres. Au final, on va atteindre un passif de 30 M€ avec plus de 80 personnes sur le carreau. Sans compter les entreprises qui se retrouvent en difficulté parce que le club ne les a pas payées. Certaines ne parviendront pas à se relever. D'autres oui…»
«Tous les acteurs économiques de l'île ont été anormalement bienveillants à l'égard du club. (...) On a fermé les yeux car c'était un symbole fort de notre région» - Jean-Marc Cermollace, président du tribunal de commerce de Bastia
Comme la pharmacie Colonna. Le Sporting aurait omis de lui régler une note de 80 000 euros. Sur un document confidentiel de la Ligue de football professionnel que nous nous sommes procuré, on peut lire que le bilan du club au 30 juin 2017 affiche «des dettes envers ses fournisseurs d'un montant de 6,052 M€». Bastia doit de l'argent en France, en Allemagne, en Espagne, en Angleterre : à des jardiniers, à des traiteurs, à des agents, à des clubs… L'Espanyol Barcelone n'aurait pas perçu la totalité du transfert de Thievy Bifouma. Même constat pour les prêts payants de Prince Oniangué (Wolverhampton, D 2 ANG), Allan Saint-Maximin (Monaco), Pierre Bengtsson (Mayence, D1 ALL). Les nombreuses relances n'ont servi à rien. Les Anglais ont perdu 320 000 euros, les Monégasques 237 000 et les Allemands 210 000.
«Je sais tout ça, soupire le président du tribunal de commerce. Il faut être clair, tous les acteurs économiques de l'île ont été anormalement bienveillants à l'égard du club. Il y a une responsabilité collective. On a fermé les yeux car c'était le Sporting, un symbole fort de notre région.» Et personne n'a rien dit car, sportivement, le club tenait la route et le choc au sein de l'élite. Le Sporting était la fierté de l'île. Deux fois par mois, la foule se pressait à Furiani pour assister au grand spectacle de la Ligue 1. Même les services publics se sont tus. Les dettes fiscales et sociales du club approchent les 13 M€. Nous avons écrit à l'URSSAF, qui a refusé de commenter les chiffres.
Le liquidateur judiciaire aurait pointé de nombreuses incohérences et illégalités
Mais en mai dernier, le club est tombé en Ligue 2. Les couches de peinture sur les murs du club ont commencé à s'écailler. Et la réalité est apparue, brutalement. Cette fois, la DNCG, le gendarme financier du football français, ne s'est pas montrée indulgente. Elle a sévi, lourdement. Les appels successifs, les ultimes recours devant le CNOSF (Comité national olympique et sportif français) et le tribunal administratif, et les interventions désespérées de quelques politiques, dont celle de Jean-Louis Borloo, n'ont pas suffi. Le Sporting a plongé. Il y a quelques mois, il recevait le Paris-SG. Désormais, il affronte Endoume et dispute le Championnat de National 3 (D 5).
Dans les rues de Bastia, la colère a laissé place à la rancœur. Les langues se délient. Les documents accablants sortent. Il y a quelques semaines encore, certains anciens actionnaires auraient été secoués physiquement par des supporters déçus. Ils ne s'attardent donc pas en ville. La disparition de la SASP reste un sujet sensible. Et les Corses espèrent que la justice parviendra à leur donner des réponses claires. Ils veulent comprendre et savoir si les anciens dirigeants n'ont pas profité du club pour s'enrichir personnellement. Pour l'instant, aucune enquête sur la faillite n'a été ouverte.
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À neuf reprises, entre juin 2012 et décembre 2016, la DNCG a décidé d'un encadrement de la masse salariale des joueurs. Cinq fois, cette sanction s'est accompagnée d'un encadrement des indemnités de mutation et une fois d'une interdiction de recruter.
Le parquet de Bastia, dirigé depuis peu par Caroline Tharot, étudie, depuis une dizaine de jours, le rapport rédigé par Bernard Roussel, le liquidateur judiciaire, nommé début décembre. Selon nos informations, ce dernier, qui n'a pas répondu à nos sollicitations, aurait pointé de nombreuses incohérences et illégalités dans la gestion du Sporting, notamment sur la billetterie et les abonnements, et aurait découvert des emplois qui s'avéreraient fictifs. Il s'interrogerait aussi sur le rôle de la DNCG qui, malgré des bilans catastrophiques, a maintenu le club en Première Division durant plusieurs années (1).
Les anciens dirigeants ne devraient donc pas échapper au procès. Le 14 février, un des leurs ira en éclaireur. Condamné en appel, en septembre, à deux ans de prison avec sursis et à 30 000 euros d'amende pour abus de biens sociaux (2), Pierre-Marie Geronimi sera à nouveau jugé, à Bastia, pour une affaire de chèques frauduleux. Il en aurait signé une dizaine au débit d'un compte bancaire du Sporting sur lequel il n'y avait aucune autorisation de découvert. Prévu le 3 octobre puis le 21 novembre, le procès avait été ajourné. L'étau se resserre.
(1) En 2015, la DNCG avait relégué le Sporting en Ligue 2. Les dirigeants avaient fait appel et étaient parvenus à trouver les fonds nécessaires (grâce à des transferts) pour se maintenir dans l'élite.
(2) Pour avoir utilisé la trésorerie d'une société de location de voitures, dont il était le gérant, afin de régler des dettes de jeu.
Ultima mudificata da Fred Mendy u 08 Fer 2018 19:18, mudificatu 1 volta(e).
ERI, OGHJE, DUMANE è PER SEMPRE : PIU CHE MAI FORZA BASTIA !!!
