Zampaglinu a écrit :Corsica a écrit :Zampaglinu a écrit :Aucun des deux !
La L1 sans eux ou du moins le giron professionnel.
Repartir dans les plus basses divisions représente un trop grand danger. L'exemple le plus frappant est Toulon. Petit club méditerranéen populaire aujourd'hui disparu des écrans radars. Strasbourg dans une région économiquement riche a et propriétaire de son stade a mis plus de 5 ans pour remontée.
Nous n'aurons pas tous les jours des Jean Louis borloo, Paul giacobbi et les mobilisations populaire peuvent être aléatoires. D'autant plus lorsque la ligue durcit d'années en années les conditions d'obtention de la licence club.
Il y a un combat à mener qui consiste à les faire partir tout en favorisant l'arrivée d'une nouvelle équipe dirigeante. Ce combat est difficile mais il n'y pas d'autre issue que de réussir. La première étape est de connaître précisément la situation financière exacte du club. La publication des comptes est un axe prioritaire que nous devons avoir tous en tête.ce n'est pas un caprice mais indispensable pour apprécier la valeur du club et permettre à des éventuels repreneurs de se positionner.
J'aimerais être aussi optimiste que toi... mais quand je vois les 20 dernières années écoulées, les possibilités réelles de reprise du club en L1 dépendantes du seul bon vouloir des 9-2 à prendre du recul, l'image économique désastreuse du club et la réalité d'une politique sportive à l'image de ceux qui la conduisent : j'ai peu d'espoir que ce jour arrive.
Et très franchement, si on finit comme Toulon, eh bien finissons comme Toulon. Au moins, si on ne veut pas se donner les moyens d'aller plus haut, on ne pourra pas se le reprocher par manque de professionnalisme. Si on peut s'éviter d'en arriver là, évidemment que je soutiendrai toutes les démarches entreprises. Mais légalement, à moins d'une situation extrême, je n'ai aucun indice qui laisse croire que le club renaîtra de ses cendres avec un nouveau repreneur tant que les dirigeants actuels ne l'auront pas brûlé par les deux bouts.
J'en suis conscient. Au delà du fait historique sur lequel tu t'appuie (qui est juste et que l'on pourrait même développer) il y a surtout une logique économique. Tout éventuel repreneur quelqu'il soit ne va pas venir racheter les parts des dirigeants actuels, combler les dettes et rajouter encore de l'argent pour bâtir une équipe compétitive. En sachant qu'il peut sur un horizon de 4 à 24 mois le racheter pour l'euro symbolique. Je suis aussi conscient que les "9-2" ne partiront pas sous la simple demande des supporteurs. La réalité est bien complexe qu'à l'aune de nos revendications. Cela n'empêche pas de dire que leur depart est tout aussi vital que le maintien en l1 pour lavenir du club. Cela n'empêche pas non plus aux supporteurs de Porter cette revendication qui au passage, aurait dû voir le jour au lendemain de la réunion de biguglia. Bref tu l'auras compris mon point de vue est celui d'un scénario idéal qui jusqu'à présent dans l'histoire récente du club ne s'est jamais produit.
Et s'il y a un point sur lequel nous sommes tous les deux d'accord, c'est qu'il vaut mieux se battre pour un idéal à poursuivre que pour un but à atteindre. Tu te doutes bien que la question était volontairement provocatrice. Mais les réponses sont éclairantes. Quand M. Franceschini déclare "On est en Ligue 1, vous voulez quoi de plus ?", ça me heurte. J'étais curieux de voir si c'était la même chose pour beaucoup.
Et je constate que la peur de perdre le club est un moteur suffisant pour certains parmi les 9-2 pour justifier leur présence, en affirmant que sans eux et sans repreneurs, on n'a plus qu'à fermer nos gueules. Et c'est là que des actions comme celles de PT ou du CSSCB peuvent être des arguments massue. Après, je suis honnête : je ne tire pas de conclusions hâtives sur un sondage internet "même sur Camperemu" 75/25, mais où seulement 60 types ont répondu.
Mon idéal "réaliste", c'est le maintien après un barrage fédérateur et le choix d'un pas de côté par les actionnaires qui se déresponsabiliseraient sur un directeur sportif. Parce que sans être naïf, dès que le fric accourt, certaines tronches reviennent un peu trop spontanément en loges au stade. Mais au moins, je me sentirais fier d'un club qui n'aura cédé ni au naming, ni au rachat par un investisseur totalement étranger à la culture du Sporting et qui n'aura pas sacrifié ses valeurs sur l'autel de l'investissement immédiat et du bénéfice pour bénévoles.
Mettite capate, schjaffe, pattone o calci, cume vulete... ma ghjucate, pè piacè.
CI VOLE A MUGHJÀ' E MINA' PÈ' U SPORTING !!
ERI, OGHJE, DUMANE è PER SEMPRE : PIU CHE MAI FORZA BASTIA !!!
